Sa voix, douce et lumineuse, traverse les frontières comme une prière. À travers son nouvel album, la chanteuse franco-libanaise nous offre un voyage intime, entre chanson française, poésie et influences orientales.

Née au Liban et installée en France depuis son plus jeune âge, Abyr porte en elle la beauté et la complexité de l’exil.
Ses chansons racontent les racines, la mémoire, la quête d’un lieu intérieur. Elle ne revendique pas une identité unique, mais une harmonie entre deux mondes : celui de la Méditerranée et celui de la chanson d’auteur française.

Dans chacune de ses compositions, on retrouve cette tension douce entre la lumière et l’ombre, la nostalgie et la paix. Abyr chante en français, parfois en arabe, avec une sincérité qui transcende les langues.

Chez Abyr, les mots ont un poids, une respiration. Chaque phrase semble taillée dans la sincérité.
Son écriture ne cherche ni l’effet ni la rime facile : elle cherche le sens.
Les chansons parlent du temps qui passe, de l’exil, de la mémoire et du pardon.
Mais loin d’être sombres, elles sont traversées par une douceur rare — comme si la douleur pouvait devenir lumière.

Musicalement, l’album mêle la guitare acoustique et les cordes orientales, avec quelques touches électroniques discrètes.
Les arrangements signés Antoine Rault et les musiques de Sebka enveloppent la voix d’Abyr dans une atmosphère à la fois moderne et intemporelle.

Découvrez le clip de Je cherche l'enfance :